Mercredi 11 juillet 3 11 /07 /Juil 09:11
Je ne me suis jamais posé la question d’où venait ma passion pour le plaisir, mais j’ai toujours trouvé que l’amour sans un soupçon de violence devenait très vite fade et sans intérêt. Dans cette recherche du plaisir avec Liz, je me suis vite rendu compte qu’il fallait savoir flirter avec la frontière très mince qui sépare le plaisir de la douleur. Je me souviens d’une copine avec qui j’étais dans ma jeunesse. Cette fille faisait peur aux autres garçons car certains disaient qu’elle avait des pratiques sexuelles complètement folles. Je devais avoir 17 ans avec déjà une solide réputation parmi mes copains. Une réputation de petit dur qui dominait les filles, ce qui n’était pas loin d’être la vérité, mais je le faisais déjà avec doigté je suppose car elles raffolaient de cette domination, bref ….Je trouvais souvent le temps long dans les bras de mes copines. Il n’y avait rien de palpitant, les bisous, les câlins bien trop classiques, disons que je m’ennuyais profondément. Pour en revenir à cette fille, il fallait impérativement que je me rende compte par moi-même si ce que l’on disait sur cette fille était vrai. C’est donc à l’occasion d’une soirée que j’ai commencé à la provoquer, sachant qu’elle démarrerait au quart de tour. Je vous passe les détails de l’approche, je ne m’en souviens plus trop d’ailleurs, par contre ce qui est encore présent dans mon esprit, c’est la nuit que j’ai passé à lui faire l’amour. Effectivement, elle était vraiment particulière. Elle m’avait demandé de lui tirer les cheveux très violemment en la sodomisant. Etrange sensation, étrange et terriblement excitant. J’avais adoré le fait de la sodomiser et lui tirer les cheveux de manière violente. Autre moment particulier, elle m’avait demandé de la gifler pendant qu’elle me suçait, mais elle voulait des claques qui laissent des traces, et tout cela en la traitant de « salope » « cochonne » etc… Je pense que j’ai gardé le goût de ces pratiques depuis, je les ai simplement adaptées à des plaisirs moins violents, mais je crois que le principe reste le même. 
La plupart des couples ont une sexualité des plus classiques. Je ne me permets pas de juger, c’est une simple constatation. Le câlin après le film du soir reste encore une pratique très répandue dans les couples. Cette sexualité m’a toujours énervée. Ce n’est pas du tout ainsi que je la conçois. Nos jeux avec Liz sont, depuis le début de notre rencontre, un peu violents. Quand le parle de violence, ce n’est pas de sado-masochisme, bien que l’idée commence à m’effleurer d’emmener Liz sur ce chemin, mais je reviendrai plus loin sur ce sujet.
Il faut essayer d’imaginez ce que vous pourriez ressentir quand vous pensez que vous êtes au maximum de votre plaisir, mais que votre partenaire continue à vous caresser, que le plaisir au lieu de descendre au contraire continue à monter.
J’ai souvent entendu certaines de mes partenaires me dire « arrête, j’ai mal !!». A cette époque, je n’avais pas cette vision du plaisir, je pensais comme tous les hommes que ces femmes devaient être trop sensibles.
Dans ma relation avec Liz, c’est vraiment très différent. Je recherche pour elle le plaisir intense. Régulièrement, je l’emmène à la frontière, et si cette frontière est mal gérée, elle transforme le plaisir en douleur. Il faut pour cela toujours rester à l’écoute de l’autre.
Même dans nos jeux qui peuvent paraître extrêmes, je cherche toujours à aller plus loin. Liz a maintenant l’esprit vraiment ouvert à ces pratiques, et c’est indispensable pour que le plaisir la submerge. Ouverture d’esprit, mais surtout une confiance aveugle en moi. Quand ma langue titille son clitoris, Liz arrive au plaisir très rapidement, mais malgré ça, je continue à jouer avec son bouton, jusqu’au moment où ses cris de plaisir se transforment en hurlement.
Le paradoxe, c’est qu’il arrive que Liz culpabilise de prendre ce plaisir. Ce sentiment de culpabilité qu’elle ressent est certainement une des seules choses que j’ai encore du mal à comprendre chez elle. Je sais qu’elle a parfois du mal à assumer ces jeux, à cause de son éducation. Quand elle est comme ça, je la prends dans mes bras, la câline, et lui parle. Il y a un véritable contraste entre nos câlins qui peuvent être quelque peu violents parfois et la douceur de ces instants.
Je pense que mes propres épreuves ont fermé une partie de mon cerveau pour éviter de souffrir. Mon envie de plaisir, d’en donner vient peut-être de là. Quoiqu’il en soit, je continuerai à donner du plaisir à Liz, car c’est essentiel dans ma vie.
Par couple illégitime - Publié dans : Vu par M
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