Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 13:47
 
Notre second rendez-vous eu lieu dans les semaines suivantes, je devais partir en vacances et nous voulions nous revoir auparavant. C’est donc Liz qui a fait le déplacement pour me retrouver dans la ville du «Roi Soleil » près de chez moi, il faut comprendre que je n’ai pas de véhicule et me déplace uniquement en transports. Nous avions passé tellement d’heureS aux téléphone et sur le net, que nous avions appris à nous connaître.
Quand nous nous sommes retrouvés, notre relation n’avait rien à voir avec celle du Parc Monceau, il y avait déjà entre nous une complicité naissante. Nous savions pourquoi nous avions décidé de nous voir ce soir là, nous savions que cette soirée serait pleine de sensualité, de jeux de séduction. J’ai encore dans la tête la sensation du corps de Liz contre moi quand nous nous sommes dit bonjour, pour la première fois je pouvais sentir sa peau. Sa manière de se coller à moi en pleine rue, ses légers soupirs quand j’ai posé mes mains sur ses hanches, sa façon de se laisser aller…à cette seconde j’ai su qu’une alchimie sexuelle était en train de naître. Nous sommes allés dîner, notre premier restaurant Japonais, premier d’une très longue série. Malgré ce que je pouvais ressentir, j’étais encore un peu distant, ne voulant pas affoler Liz, je voulais qu’elle comprenne que j’étais différent. Je n’avais rien prévu de cette soirée, pas de réservation d’hôtel, c’est donc autour d’un plan d’eau du Parc que nous avons commencé à flirter, à nous découvrir, il dégageait de Liz une telle sensualité que j’étais complètement sous le charme. Nous n’avions pas parlé de sexe, en fait je crois que nous en avons surtout parlé avec les yeux, comme si nous nous comprenions, comme si nous étions parfaitement sur la même longueur d’ondes. Au fil de nos conversations, je cherchais à lui faire comprendre mon intérêt pour elle, nous étions loin des photos qu’elle voulait faire. Je voulais la découvrir, chacun de ces gestes étaient un prétexte pour que je l’approche de plus près, pour que mes doigts effleurent sa poitrine, que ma main se pose sur ses fesses, une cuisse.
Liz habitant à cette époque Paris, c’est vers minuit qu’elle décida de me raccompagner, l’intensité de son regard me faisait complètement fondre. Je n’avais aucune envie de rentrer, aucune envie de la quitter.
 Etant mariée, elle ne voulait pas me déposer devant chez moi, c’est donc sur le parking d’une supérette que Liz gara sa voiture. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de serrer une femme dans vos bras à l’avant d’une voiture ! Ce n’est vraiment pas pratique et la place est extrêmement restreinte. J’avais une envie folle de Liz, une envie folle de découvrir son corps, de goûter sa peau, de caresser chaque parcelle de sa peau. Devant le peu de place, c’est Liz qui décida de reculer son siège et de le basculer en arrière. Je me suis dit que seul une femme acceptant les avances d’un homme agit ainsi. Ce qui m’a tout de suite surpris chez Liz c’est la rapidité avec laquelle son intimité s’humidifie, à peine avais-je commencé à la caresser que ma main était trempée. Un phénomène naturel mais rare, contrairement aux femmes qui ne lubrifient pas, Liz n’a pas ce problème. J’ai adoré ce moment, adoré entendre Liz crier de plaisir. Ce soir là j’avais découvert la femme qui pouvait peut-être me suivre dans mes délires, dans mes folies sexuelles.
Je me suis dit que pour une première rencontre cela promettait des heures de plaisir, si toutefois nous décidions de nous revoir. Mais je savais déjà ce dont moi j’avais envie.
 
 
Au court de nos interminables conversations virtuelles, je découvrais Liz sous un autre jour. Derrière son coté très stricte, c’était une dévoreuse d’hommes. Elle m’a rapidement dit qu’elle voyait un autre homme que moi (je l’appellerais L). Cette relation ne me dérangeait pas, même si quand elle me disait qu’elle voyait L tel jour, cela ne me plaisait pas. Ce n’était pas de la jalousie, mais plutôt une forme d’exclusivité que j’aurais aimé protéger. Je n’en parlais pas à Liz, mais je savais qu’elle le ressentait, voir qu’elle y prenait du plaisir. J’imagine que pour une femme, avoir deux hommes avec qui elle peut jouer, deux hommes qui portent toute leur attention sur elle, ne peut que procurer une jouissance intellectuelle et physique bien sûr. Liz avait également parlé de moi à L. Très étrange comme situation. Je ne sais pas ce qui avait motivé Liz pour nous faire connaître l’existence de l’autre, mais je sentais que cela lui faisait plaisir. C’est pour moi une sorte de libertinage intellectuel.
Nous étions fin juin 1998 et mon départ en vacances était imminent. Je devais partir en Bretagne dans la maison de ma belle-mère, une vielle chaumière qui évidemment n’avait pas de ligne téléphonique. Ne pas avoir de téléphone n’était pas grave en soi, ce qui l’était c’est que sans téléphone, impossible d’avoir Internet et sans Internet pas de t’chat avec Liz. C’était pour moi impensable de rester trois semaines comme ça.
Dès le début, je n’ai pas vu Liz comme une simple maîtresse, je n’ai donc pas fonctionné de la même manière. J’ai voulu tout de suite m’investir dans cette relation. Je sentais au fond de moi que je pouvais faire ressortir de Liz ce qui était enfoui au fond d’elle.
Pour en revenir à cette ligne téléphonique, j’ai fais mon caprice de petit garçon afin que ma belle-mère fasse installer le téléphone pour le temps des vacances. 
Pendant ces trois semaines, nous avons Liz et moi consolidé notre début d’aventure et surtout, nous avons commencé vraiment à nous lâcher sexuellement. Nous parlions de tout ouvertement. Nos journées étaient rythmées par nos appels téléphoniques. Ce fut souvent des communications très bruyantes ! Nos deux appétits sexuels avaient été en phase dès le début de notre rencontre. Nous avions besoin de plaisir, qu’il soit solidaire ou pas et ceci très régulièrement. Nous avons commencé à faire ce que certains appellent « l’amour au téléphone », Liz me décrivait souvent comment elle était habillée, dans quelle position elle se trouvait etc… Les débuts timides des premiers temps furent vite remplacés par un vrai besoin de ce jeu. Nos mots devenaient plus audacieux, Liz se laissait vraiment aller.
Ce qui m’a tout de suite frappé, ce sont les cris de Liz quand elle se caressait, elle se laissait porter par ma voiex, je l’imaginais la main entre ses cuisses, trempée de plaisir jusqu’au moment où sa jouissance explosait dans des cris de plaisirs. Ces cris sont toujours présents dans nos ébats, et sont souvent plus forts, plus longs et il m’arrive souvent de devoir même lui bâillonner la bouche !
Pendant trois semaines, nous avons donc joué au téléphone, puis par caméras interposées sur Internet. Je dois dire que j’avais une préférence pour la cam. J’adorais regarder Liz se donner du plaisir. J’ai toujours été fasciné par son corps, par ses seins. Rien que d’écrire ces lignes et l’imaginer me donne des frissons, avec la réaction physique logique à ce genre de pensées.
Par couple illégitime - Publié dans : Vu par M
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